Quand le passé refait surface. Feat Alvy Stuart.

J'avais eut une sacré journée à l'hôpital, du coup pour me vider l'esprit, j'avais décidée de courir comme à mon habitude. J'avais donc pris la direction du parc. Mais voilà, je n'avais pas fait attention à l'heure, du coup il faisait nuit quand je pris le chemin du retour. Mais je n'étais pas du genre à avoir peur, donc je ne m'inquiétais pas plus que ça. Je continuais donc de courir pour rejoindre la sortie du parc. Comme ça je rentrerais enfin chez moi. Mais voilà, ça ne se passa pas du tout comme prévu. J'étais à dix minutes de la sortie du parc quand un gars se mit devant moi, sortant de nul part. Cet enfoirée m'avait fait peur, je m'apprêtais à l'insulter de tout le nom quand il se mit à me sauter dessus. Je me retrouvais donc au sol, j'avais beau me débattre, il était bien trop fort pour moi. Mais le pire ce fut quand je vis ses crocs. Un vampire, moi qui pensait jamais me retrouver face au monde qui m'avait enlever mon père en venant vivre ici, je m'étais bien tromper. Je fermais les yeux, me disant que maintenant ça en était fini de moi. Mais voilà, ça ne vient pas. J'entendis juste un "tu vas bien ?", je pris donc le risque d'ouvrir les yeux, et je tombais nez à nez avec Alvy qui tenait un pieu dans sa main droite. Alvy c'est la fiancée de l'un de mes amis. Et au fil du temps je m'étais lié d'amitié avec elle. Je regardais la main qu'elle me tendais après avoir ranger son arme. Je l'a pris, et dit en même temps. Tu es une chasseuse ? Je vis de l'étonnement dans son regard. Le faite que je connaisse l'existence de ce monde devait la surprendre. Je vivais comme une humaine, j'étais une humaine car mon père ne nous avait jamais apprit la chasse. Je regardais donc Alvy et lui dit. Je connais ton monde, mon père était comme toi, mais jamais il nous a apprit à nous battre. Du coup je suis une humaine qui sait, mais rien de plus. On prit la direction de la sortie. Au faite merci. Je souris à Alvy, mais je voyais bien que la situation était un peu gênante pour elle. Je souris donc et lui demanda. Il est pas au courant c'est ça ? Son fiancé était un humain, j'en était sur et certaines car un soir avec une bande de pote on parlait de ce genre de chose et j'avais bien remarquer que ce n'était pas du tout son truc. Donc maintenant je comprenais mieux l'attitude d'Alvy, et je ne pouvais que comprendre ce qu'elle ressentait.

Depuis ce qui c'était passer au manoir, je n'avais pas vraiment revu les membres de ma famille, pas que je les fuyais loin de là, mais le faite que j'avais été faible face à ma petite soeur avait remit toutes mes pensées en question. Je voulais une vie normale, mais cette nuit dans ce manoir hanté avait tout changer. Je ne pouvais pas être une simple mortelle, j'étais une chasseuse et je devais restée une chasseuse. J'avais donc décidée de me reprendre en main. J'avais repris l'entrainement dans la limite du raisonnable, j'avais repris le sport en salle et la course avant de retourner au manoir manier des armes et reprendre un entraînement digne d'une chasseuse. J'étais donc dans le parc en train de courir, cela faisait un bien fou de ne pensé à rien. Alors que je retournais tranquillement vers la sortit du parc, je vis un mec suspect, il venait d'agresser une jeune femme, quand je me rapprochais d'elle, je vis les marques qu'elle avait dans son cou. J'appelais donc les urgences et décidaient donc de suivre le vampire. Je le retrouvais sans mal cacher dans un buisson attendant surement sa prochaine victime.

Je ne m'étais pas trompée, il bondit sur une joggeuse, je décidais donc d'intervenir et planta un pieu dans le coeur du vampire. Avant de voir la victime je lui demandais donc. Tu vas bien ? Mais voilà, je reconnue Carina, une très bonne amie de mon fiancé. Je lui tendis la main après avoir cacher le pieu que je tenais. Mais voilà, je n'avais pas été du tout discrète car sa phrase me surpris. Comment pouvait-elle être au courant de ce monde ? Pour de simple mortel, les vampires, loups, sorcières et chasseurs étaient des légendes qu'on racontait au enfant pour les terrifiés ou les fascinés. Je souris donc timidement mais ne dit rien. Alors que nous marchions vers la sortit du parc elle me remercia. Je souris et dis. De rien c'est normal. Mais en arrivant près de la sortit elle parla de mon fiancé me demandant, plutôt en affirmant qu'il n'était pas au courant. Je décidais donc de m'asseoir sur un banc. Elle en fit de même je dis donc. Non, il ne sait rien du tout. Je la regardais et dis. Et il ne doit rien savoir. Je marquais un temps de pose et rajoutais. S'il te plait.

Elle acquiesça, je soufflais donc de soulagement, cela me rassurais, mais cependant une question me trottais dans la tête, je pris donc le risque. Dis moi Carina, comment as-tu sus ? Je veux dire, une simple humaine n'aurait pas toute suite affirmée ce que je suis. Donc j'en conclus donc que tu es au courant de tout ce monde ? Je regardais Carina, j'avais dans le fond hâte de savoir ce qu'elle savait réellement. Je me dis que lui posé des questions n'était donc pas risqué. Tu fais partis de ses humains qui croient aux histoires qu'il y a sur nous ? Je vis un sourire s'afficher sur son visage. Je continuais donc en souriant. Ou alors tu es une sorcière ? De toute façon, elle n'était pas un vampire, pas de bijou avec de lapis lazuli, et en plus de cela, dans les boissons que je faisais à la maison, je mettais en permanence de la verveine, et elle en avait bu plus d'une fois sans jamais ce plaindre. Et elle n'était pas non plus un loup car on avait fait une soirée au bord du lac un soir de pleine lune, et personne ne c'était transformé. Donc elle était automatiquement une humaine connaissant notre monde pour diverse raison, une sorcière, ou alors le plus probable, une chasseuse. Mais contrairement à Aedan, je ne connaissais pas toutes les familles de chasseurs du monde. Lui seul était l'encyclopédie de la famille sur ce point. Je regardais Carina lui faisant comprendre, qu'elle pouvait parler. Chose qu'elle fit.